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19 février 2014 3 19 /02 /février /2014 10:55
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21 décembre 2013 6 21 /12 /décembre /2013 15:29

 

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Pour la première fois, la Maison spécialisée dans les moutardes et condiments s’aventure à l’étranger. La filiale du groupe Unilever vient d’ouvrir une boutique en plein cœur du West End à Londres.

 

 

 

banner5-new-112604.jpgLe magasin s’étend sur une superficie de 200 M2. Il propose 60 variétés de moutardes, vinaigres et cornichons, ainsi que des recettes de moutardes raffinées servies à la pompe ou dans des pots en porcelaine. La marque qui compte deux points de vente à Paris et à Dijon, nourrit des ambitions à l’international. Elle a le projet d’ouvrir des boutiques à New-York, Montréal, Tokyo et San Francisco.

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19 décembre 2013 4 19 /12 /décembre /2013 18:12

 

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12 décembre 2013 4 12 /12 /décembre /2013 10:21

Où sont produites et conditionnées les moutardes et mayonnaises Amora & Maille ? 

                                    

et les cornichons ?

                                                                  

 

J'attends vos réponses !!!

 

Indice : "Made in France"


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10 décembre 2013 2 10 /12 /décembre /2013 23:23

Le géant anglo-néerlandais, Unilever, connu pour les marques Magnum, Lipton ou encore Dove, fait des économies suite au ralentissement des économies émergentes.

La réorganisation d’Unilever concerne surtout la division agroalimentaire, où l’on trouve des grands noms tels que Lipton, Magnum, Knorr ou encore les mayonnaises Hellman’s - DR
La réorganisation d’Unilever concerne surtout la division agroalimentaire, où l’on trouve des grands noms tels que Lipton, Magnum, Knorr ou encore les mayonnaises Hellman’s - DR

Unilever va faire un sérieux ménage dans sa gamme de produits. Le numéro deux mondial de la grande consommation veut la réduire de 30 % en 2014 après avoir supprimé 2.000 emplois cette année. Ce n’est pas la première fois qu’Unilever réduit sa masse salariale et sa gamme. A quelques pauses près, le groupe est en restructuration quasi permanente depuis l’année 2000. Il avait alors lancé un programme intitulé « Le chemin de la croissance », qui l’a amené à se débarrasser de 1.600 marques sur un total de 2.000.

Cette fois, a précisé le directeur financier, Jean-Marc Huet, la réorganisation concerne surtout la division agroalimentaire, où l’on trouve des grands noms tels que Lipton, Magnum, Knorr ou encore les mayonnaises Hellman’s. Unilever souhaitant se concentrer sur ses quinze marques milliardaires, il va céder toutes celles qui n’ont pas de caractère stratégique pour sa croissance. Ce qui n’exclut pas qu’il réalise parallèlement des acquisitions ciblées.

 

« Notre portefeuille global n’est pas encore au niveau de celui de nos concurrents », a commenté Paul Pohlman, le directeur général. La bagarre avec Procter& Gamble, l’autre géant de la grande consommation est redoutable. Récemment, le groupe a vendu le beurre de cacahuète Skippy et les vinaigrettes Wishbone. Les saucisses Peperami intéressent le groupe irlandais Kerry qui semble tenir la corde. En perte de vitesse depuis des années, les margarines sont confrontées à la concurrence du beurre.

Poids des monnaies faibles

Unilever avait prévenu en septembre que le ralentissement de l’activité dans les pays émergents allait peser sur son activité au deuxième semestre. Paul Polman, le patron du groupe pense que cette situation va perdurer, en partie du fait de la moindre demande en provenance des pays avancés. Il estime de ce fait qu’il n’a pas d’autre choix que de réaliser des économies et de concentrer sur les marques vedettes d’Unilever.

En 2014, l’objectif est d’avoir réduit les dépenses de 500 millions d’euros. Le géant anglo-néerlandais réalise plus de la moitié de son chiffre d’affaires sur les marchés émergents et notamment en Inde et en Chine. La faiblesse de la roupie indienne et indonésienne et du real brésilien ont ralenti la croissance des ventes.

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27 septembre 2013 5 27 /09 /septembre /2013 14:21

Dominique Variot : pas que Maille qui lui ail - 21028022.jpg Sylvain Alessandri

Il n'est pas tombé dedans, mais l'a vue couler à flot. Aujourd'hui, il la fabrique lui-même en Corse. Pas seulement une histoire de pot

Rien a priori. Rien ne le prédestinait à voir la vie en jaune. Un jaune onctueux, presque moelleux. Dont on ne doit pas nécessairement s'accommoder. Mais qui a davantage vocation à accommoder. Un jaune que l'on met à toutes les sauces. Un jaune comme un symbole. Celui d'un produit qui trône sur la table de chaque foyer. Ce jaune, Dominique Variot, Bourguignon d'origine, l'a aujourd'hui adopté. Jusqu'à en faire l'une de ses raisons de vivre. Après l'avoir côtoyé en usine pendant des années, il en a fait son métier. Est devenu son propre patron. Avec une audace qui n'a pas tardé à retenir l'attention d'acheteurs potentiels. Parmi eux, de grands noms de la cuisine ou des établissements hôteliers renommés.

À Linguizzetta, en Plaine orientale, Dominique Variot fabrique de la moutarde. Et comme dans les contes de fée, tout est finalement parti de quelques graines. Quelques petites graines semées en terre. Qui ont donné naissance à des pots. Mais l'histoire de Variot, ce n'est pas que du pot. Cela va au-delà. Car, de plantation en recherche, d'apprentissage en expérience acquise, ce professionnel décline depuis peu une gamme d'exception. Qui prend racines dans les spécificités de la terre insulaire. Au plus juteux de ses produits. L'histoire ne peut se résumer à cela. Elle est à la fois plus fine et plus forte. À l'image de la moutarde produite. Qui ne se contente pas, d'ailleurs, de n'être que de la moutarde. Laissant entre la finesse et la force, la place pour une originalité qui est en train de monter au nez de beaucoup. Mais cette fois en inversant le sens de l'expression. Retoquée, renversée, réappropriée. Détricotée. Au terme d'un itinéraire qui a pourtant commencé de manière on ne peut plus basique. Chez Maille…

On en prend pour vingt ans

« Je suis né en Bourgogne, une région dont mes deux parents sont originaires, une famille d'agriculteurs, j'y ai grandi. J'ai tenté des études, notamment un cursus de mécanique générale, avec un niveau, le CAP, que je n'ai pas eu… J'en suis parti en 2007 ».

Grand, visage d'une largesse bienveillante, Variot, c'est d'abord un sourire. L'un de ces sourires qui ne cache rien, un sourire rond, nature, avec une franchise qui s'affranchit de la commissure des lèvres. Le type même du gars sympa, qui se jauge à l'aune de ce qu'il réalise. Ni plus ni moins. Son itinéraire, il le doit à lui. Rien qu'à lui, même s'il estime que ceux qui l'ont formé lui ont ouvert la voie.

Entre 2007 et 2013, il y aura eu du chemin. Celui parcouru, celui imaginé, celui tracé. L'option mécanique ayant coulé une bielle avant l'heure, le jeune homme qu'il est alors, enchaîne - plutôt s'enchaîne - à divers petits boulots. Il sera, entre autres, monteur en meubles de cuisine. Puis accomplit ses douze mois d'armée dans le nucléaire. Pas de quoi en faire une force de frappe au quotidien.

Le vrai déclic, il se fera juste après. Lorsque Dominique Variot entrera en apprentissage chez Maille, à Longvic, situé à côté de Dijon. « C'était une usine familiale de quatre-vingts personnes. Mon père y travaillait déjà en tant que réceptionniste. En 1983, j'ai occupé un poste au service expédition où je chargeais les camions. Cela a duré six mois. Puis j'ai obtenu une place à la production. Là, on sait comme une évidence - ou tout au moins on se dit - qu'on en prend pour vingt ans ! Je ne connaissais rien à la fabrication de la moutarde. Je suis parti de zéro, on m'a enseigné l'informatique, la technique, les processus. J'ai appris, en outre à faire les sauces les plus classiques… Vinaigrette, mayonnaise, ketchup. Tout ce qui permet l'élaboration des condiments… ».

Au cœur du secteur de fabrication dans l'usine, une image l'assaille immédiatement. « Quand on arrive dans le service où j'avais été affecté, la première image qui saute aux yeux, c'est ce flot de moutarde, grossissant comme un fleuve, sortant à flots ininterrompus. Nous avions pour tâche de réceptionner la graine, de la trier. Après la vue, le deuxième sens sollicité, c'est l'odorat. Il flotte dans l'air cette odeur d'acidité que dégage la moutarde. Et la couleur vous imprègne, bien sûr. Je crois que mon chemin initiatique commence à ce moment précis. Et si j'en suis là aujourd'hui, c'est grâce à cela ».Pas que…

La moutarde au nez

En 1985, un autre événement va croiser le destin de Dominique Variot. Il rencontre celle qui deviendra sa femme. Gilberte Sabiani, une Corse, tient, en effet, par le moins grand des hasards, un café à Aiserey, un village à quelques kilomètres.« Ce sera le début d'une aventure. Nous nous sommes mariés en 1991. À cette époque, l'industrie change, évolue, se transforme. J'avais derrière moi vingt ans de trois-huit, mon épouse avait du mal à supporter la Bourgogne, deux ingrédients qui nous ont incités à rejoindre la Corse ».

Retour îlien donc en 2007, à Linguizzetta où la femme de Dominique a de la famille, achat de 20 hectares de terrain, retour aux sources, à l'agriculture, acquisition de matériel… la moutarde n'a pas encore pris forme, mais le couple comprend que ce sera la terre ou rien.

« La première année, nous avons fait du foin, la deuxième année, des céréales, comme mon père l'avait fait avant moi. Un jour, je me suis dit, pourquoi pas la moutarde ? L'idée me montait véritablement au nez ».

De l'idée au projet, juste le temps de miser sur une énergie à valeur de test. « Les essais sur le sol que je cultivais ont été concluants, un ami m'a donné dix kilos de graines, j'ai semé. L'avantage, c'est qu'il faut très peu de graines à l'hectare, car ces dernières se renouvellent perpétuellement. Et peu d'investissement. Nous avons semé entre fin octobre et début novembre, laissé pousser jusqu'à fin juin et récolté début juillet. Résultat à nouveau concluant. Dans la foulée, nous avons décidé de construire un atelier de transformation en 2010. J'ai aménagé 30 ou 40 m2, j'ai trouvé des machines n'existant que pour l'industriel, et j'en ai adapté une ».

Dominique Variot s'attaque dans un premier temps à produire une moutarde forte pour savoir ce qu'elle vaut. Mille pots, à la clé. Tous sont écoulés sur le marché local. Derrière, suivront une moutarde ancienne au myrte, une moutarde ancienne simple et une forte. Quelques encablures de prospection plus tard, de Linguizzetta à Bastia, jusqu'à Ghisonaccia, un seul supermarché dit oui, le magasin Leclerc de Ghisonaccia justement, et cela pour les trois références.

Georges V et Camdeborde

En 2011, Variot décide de passer la vitesse supérieure, en l'occurrence l'aromate supérieur. Il délaisse la moutarde à l'ancienne, lance ses « aromatisées ». Et décline, comme un colonel aligne son armée flambant neuve, ses nouveautés : ancienne au myrte et en grain, moutarde au myrte, aux herbes, puis avec clémentine, citron, cédrat, orange, miel, châtaigne… « En Corse, il existe un panel d'aromates, d'épices, d'où l'idée de ces aromatisées ayant pour support des ingrédients aussi variés que nombreux. En 2011, le produit croît en réputation dans l'île. À Bastia, Bonifacio, en Balagne, dans l'intérieur à Corte. J'avais peu de clients en termes de supermarchés en Plaine orientale, mais beaucoup d'épiceries fines. Reste que la moutarde ne permet pas de gagner sa vie… ».Dominique Variot se diversifie alors, camping à la ferme, céréales. Ce qui lui donne l'opportunité de travailler encore sur d'autres déclinaisons.

En 2012, il propulse la noisette et le poivron au cœur de ses moutardes avec un packaging luxe pour se distinguer du produit référencé en grandes et moyennes surfaces, grâce à une étiquette et un pot personnalisés.« La noisette a fait un tabac tout de suite ! ».

Côté exportation, l'artisan freine un peu pour l'instant. « J'ai exporté une fois en Finlande, néanmoins je préfère me concentrer sur un produit de qualité ».Malgré tout et presque malgré lui parfois, les onze échantillons qu'il envoie au gré de ses rencontres, de son carnet d'adresses, touchent au palais de quelques précurseurs éclairés. Ce sera le cas au célébrissime hôtel Georges V à Paris. Actuellement, Dominique Variot ouvre l'œil en direction des épiceries fines en France.

« Après trois ans à tâtons, nous allons agrandir l'atelier pour atteindre une superficie de 100 m2. Mon objectif demeure le même, quoi qu'il en soit. Amener à faire découvrir d'autres saveurs ».

Parmi ceux qui auront été séduits par la moutarde de Dominique Variot, le bien connu chef cuisinier Yves Camdeborde. « Je l'ai rencontré dans le cadre de la manifestation Art'e gustu à Aléria l'an dernier. Ma moutarde, il l'a dégustée à la petite cuiller ! A tout goûté, un échantillon de chaque. Et il m'a finalement passé commande pour deux produits, ceux à la noisette et à l'orange ».

À Linguizzetta, l'ancien salarié de Maille tisse désormais sa propre toile. Au sens presque artistique du mot. Faisant, avec panache, mentir le slogan. Prouvant qu'il n'y a pas que Maille qui lui aille…

 

L'Atelier de la moutarde corse, Serra Piana, 20230 Linguizzetta Tél. : 06.14.52.69.19. Courriel : dominique.variot@neuf.fr

 

http://www.corsematin.com/article/dominique-variot-pas-que-maille-qui-lui-aille%E2%80%A6.989716.html

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5 juin 2013 3 05 /06 /juin /2013 13:36
Dira-t-on à l’avenir, connaissez- vous la moutarde de Gravelbourg ? Photo LBP

Dira-t-on à l’avenir, connaissez- vous la moutarde de Gravelbourg ? Photo LBP

Dijon, son pain d’épice, son kir et… sa moutarde. Un triumvirat contesté par un village canadien prêt à nous enlever l’un de nos piliers.


Dijon, capitale de la moutarde : qui oserait contester cette identité revendiquée par la cité des ducs depuis des lustres ? Personne, serait-on tenté de croire. Et ce serait une erreur. Pour trouver l’insolent village qui rêve de devenir calife à la place du calife, il faut traverser l’Atlantique. Pour une fois, la perfide Albion n’y est pour rien. Perdue au milieu des prairies de l’ouest canadien, Gravelbourg, une petite communauté francophone de 1200 âmes, créée au début du XXe siècle par quatre frères venus du Québec. Son argument : des champs formant la première zone de production de graines de moutarde au monde. Car Dijon, cœur historique de la culture de cette plante, dont la tradition remonte au XIVe siècle, ne produit plus de graines. Il y a quelques années, la ville a également dû faire face à la fermeture de sa mythique usine Amora qui s’est réinstallée, pour partie, sur la commune de Chevigny-Saint-Sauveur.

Recette originale

Le Canada, lui, s’impose désormais comme le premier producteur mondial (bien que la moutarde n’ait été introduite là-bas que dans les années 1940). Et à Gravelbourg, qui jusqu’ici se contentait de vendre le produit brut, une première usine de transformation a vu le jour il y a deux ans. La législation est telle que la moutarde de Dijon répond à une recette et non à une indication géographique de production. Autrement dit, la moutarde de Dijon peut être fabriquée partout dans le monde avec n’importe quelles graines pourvu que la recette soit suivie. Reste que, quoi qu’il arrive, qu’elle soit produite au Canada ou ailleurs, elle ne peut s’appeler autrement que moutarde de Dijon…

D’où l’option prise par les Canadiens avec une ligne de condiments dénommée « Gravelbourg gourmet mustard ». Pour l’instant,elle n’est distribuée que dans l’ouest du Canada mais elle vise, à terme, l’exportation. Et certains rêvent de voir un jour Gravelbourg détrôner Dijon

Lien : http://www.bienpublic.com/cote-d-or/2013/06/05/moutarde-de-dijon-coup-d-etat-en-vue

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2 juin 2013 7 02 /06 /juin /2013 15:39

DSC_0126.JPGDijon ,capital de la moutarde.


(photo D.Masson)

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14 mai 2013 2 14 /05 /mai /2013 14:07
Les salariés sont restés mobilisés durant plusieurs mois sur le site du quai Nicolas Rolin. Photo AFP

Les salariés sont restés mobilisés durant plusieurs mois sur le site du quai Nicolas Rolin. Photo AFP

La réalisatrice Annabel ­Lannier retrace, dans un documentaire de près de deux heures, le combat des salariés d’Amora.

«Un jour de novembre, on annonce aux salariés de l’usine historique de moutarde de Dijon qu’elle va disparaître et que la plupart d’entre eux perdront leur emploi malgré les bénéfices réalisés. Dans une ville dont le nom est associé à leur production, ils décident alors de lutter. » Les premiers mots du synopsis du film Amor Amora suffisent à planter le décor. Le documentaire, réalisé par la Dijonnaise ­Annabel Lannier, retrace le combat des salariés du site historique d’Amora, sur le quai Nicolas-Rolin, qu’Unilever avait décidé de fermer en 2008. Un séisme dans le paysage industriel dijonnais que la réalisatrice a décidé de mettre “en boîte”, en suivant pendant plusieurs mois les actions de ceux qui se sont mobilisés et en s’immergeant aux côtés des salariés en lutte. Elle restera avec eux juqu’au dernier moment : le reclassement de certains sur le site de Chevigny, puis la destruction du site de production, début 2011.

« Les entreprises qui licencient, c’est une chose. Mais là, pour une première fois, le groupe décidait de supprimer des postes alors même qu’il faisait des bénéfices. En tant que réalisatrice, ce point de vue m’a de suite intéressé », entame Annabel Lannier. Selon ­elle, le combat des “Amora” a été d’autant plus fort qu’il défendait un produit « symbolique » pour la ville de Dijon. Mieux, un produit qui a fondé sa réputation. « Tout le monde avait un avis sur ce sujet sensible : salariés, médias, Dijonnais, cette fermeture était devenue un vrai “feuilleton”, comme l’a expliqué un journaliste du Bien public », confie-t-elle. C’est ce moment clé de l’histoire locale qui se retrouve aujourd’hui sur pellicule, au cœur du conflit social. « Nous avons d’abord filmé les salariés du site Nicolas-Rolin. Puis, petit à petit, on glisse sur le travail des syndicalistes, qui sont devenus de vraies figures de cette résistance », explique la réalisatrice, qui a observé « la manière dont les différentes sensibilités et les relations humaines jouaient un rôle dans la gestion d’une lutte ­sociale ».

« Ce documentaire fait également écho à la mondialisation. Au fait que sous l’argument d’une rentabilité plus grande, on décide de fermer une usine », ajoute-t-elle.

Amor Amora , diffusé par la chaîne locale Voo TV, sera présenté en avant-première ce mardi, à 20 h 15 au cinéma ­Eldorado, à l’occasion du festival Sortie d’usine, qui consacre plusieurs projections de films retraçant d’autres ­conflits sociaux, ­comme celui des fameux Conti.

lien : http://www.bienpublic.com/grand-dijon/2013/05/13/amora-la-lutte-filmee

 

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13 mai 2013 1 13 /05 /mai /2013 13:55

News de nous  souhaite la bienvenue à Mme Isabelle DURET qui est embauché en qualite de directeur du site Amora-Maille 

Sa prise de fonction officielle est fixé le 21 mai 2013.


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