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7 juin 2011 2 07 /06 /juin /2011 19:36

 

Vineet Nayar est PDG de HCL Technologies, une société de services informatiques indienne, qui compte 79.000 salariés dans 32 pays du monde. Aux commandes depuis octobre 2007, il a hissé HCLT au rang des firmes indiennes les plus en vue, selon une méthode qualifiée par le magazine « Fortune » de « style de management le plus moderne au monde ». Une aventure qu'il résume dans un ouvrage intitulé « Les employés d'abord, les clients ensuite ». Le livre, qui propose de renverser les règles conventionnelles du management, vient de paraître en France (1).

Dans votre livre, vous affirmez que les entreprises doivent changer de mode de management. Pourquoi ?

Souvent, dans une organisation traditionnelle, les centres de pouvoir inhibent les salariés. Les départements RH ou financier d'une société, par exemple, sont si immenses que leur rôle est désormais davantage de contrôler que de contribuer à faire grandir l'entreprise. Ces mécanismes de pouvoir traditionnels doivent être renversés pour responsabiliser davantage les salariés, qui, en première ligne, ne sont autres que les véritables créateurs de valeur ajoutée pour les clients. Autre phénomène : les structures traditionnelles de commandement et de contrôle ne sont pas adaptées aux méthodes de travail de la « génération Y » qui arrive sur le marché. Il est donc impératif, pour rester compétitif, de passer d'une organisation hiérarchique à un système de travail collaboratif.

Et de faire passer « les employés d'abord »... ?

Oui, en créant une culture basée sur la confiance. Il faut aussi renverser la pyramide des responsabilités et s'assurer que les équipes à sa base s'approprient le changement pour privilégier l'innovation en permanence. Si l'organisation n'évolue pas dans ce sens, le stress se propage et la productivité chute. A l'inverse, chez HCL Technologies, notre croissance annuelle est de 24 % depuis trois ans, contre 12 % pour notre concurrent le plus proche.

Comment y parvenir dans un contexte mondial où vitesse et incertitude sont des maîtres mots ?

Dans une entreprise qui fait passer « les employés d'abord », les salariés seront plus proactifs, et prendront des décisions plus rapides et souvent plus appropriées qu'un PDG depuis sa tour d'ivoire. Toutefois, y parvenir nécessite que le PDG remette tout à plat. Il devra s'interroger sur le coeur de métier de son entreprise, comprendre que la valeur ajoutée émane des employés qui interagissent avec les clients, et redéfinir le rôle des managers en conséquence. Ainsi, pour renforcer l'implication de nos 79.000 collaborateurs, nous avons rendu nos managers aussi redevables envers leurs équipes que ces dernières l'étaient envers eux. A la manière d'étudiants d'université qui choisissent ou notent leurs professeurs, nos cols blancs évaluent leurs supérieurs. Leurs appréciations sont publiées sur le Web, en ce qui me concerne et pour quelque 6.000 de mes collègues. Car l'autre impératif est la transparence.

Pour une société cotée, comme la vôtre, trop de transparence peut être vu comme un risque...

De nos jours, n'est-il pas illusoire de penser pouvoir cacher quelque chose ? Seule la transparence peut restaurer la confiance entre les dirigeants et leurs collaborateurs, et réduire le fossé de communication qui se creuse entre eux.

Cela implique-t-il de redéfinir le rôle du PDG ?

Le moindre changement, si infime soit-il, peut faire une différence énorme s'il est porté par des dirigeants passionnés. Mon conseil aux managers : générez la confiance, donnez du pouvoir et des moyens à vos salariés et laissez-les prendre la responsabilité de leurs actes. A l'instar de Maradona, les managers doivent devenir des coachs et accepter de s'asseoir sur un banc en laissant leurs collaborateurs sur le terrain. En outre, un PDG doit rester accessible : chez HCLT, si une équipe a la moindre question, elle peut me la poser sur un site dédié. Tous nos collaborateurs peuvent voir la question comme ma réponse. Aujourd'hui, je n'ai pas toujours besoin de répondre. Quelqu'un d'autre peut prendre cette initiative avant moi car c'est un forum. Je n'ai pas toutes les réponses, j'ai donc créé la possibilité d'établir un dialogue ouvert.

Vous présidez une entreprise high-tech en Inde. Vos méthodes sont-elles transposables à des sociétés d'autres secteurs, industriels par exemple ?

L'idée fait son chemin. Aujourd'hui, nombre de sociétés peinent à attirer des profils de la génération Y qui, au passage, constituent aussi la majorité de leurs clients. Près de 50 % de la population mondiale a moins de 25 ans ! Encore une fois, les jeunes ne s'identifient plus aux organisations classiques.

Quel doit être le rôle du management face aux risques psychosociaux ?

Les niveaux de stress atteignent des records dès lors que nous cessons d'écouter. Chez HCL Technologies, nous avons élaboré un intranet pour que chaque salarié puisse nous faire part d'un problème, où qu'il soit dans les 32 pays où nous opérons. L'entreprise leur garantit qu'il sera résolu. Cela va de l'air conditionné défaillant à un collaborateur qui estime son bonus suspendu à tort. L'écoute est fondamentale. A l'ère industrielle, l'écoute était largement prise en charge par des entités extérieures comme les organisations syndicales ou le législateur. A l'ère numérique, l'entreprise doit se montrer responsable, et s'impliquer beaucoup plus. Ce qui nécessite une culture collaborative.

La rémunération doit-elle rester le principal mode de reconnaissance ?

Ne confondez pas argent et motivation ! Les collaborateurs recherchent l'épanouissement. Ils ont soif de respect, d'opportunités, de conquêtes. Bien sûr l'argent est une nécessité, mais il n'est pas suffisant. Une course à l'argent devient vite vide de sens. La plus grande récompense, la meilleure forme de reconnaissance pour un salarié, est d'être mis face à un défi que personne d'autre ne peut relever. Partagez vos plus grands défis avec vos meilleurs collaborateurs et chargez-les de les résoudre. Aucun salaire ne les motivera autant.

Comment repérer ses meilleurs collaborateurs ?

En les cherchant à l'intérieur comme à l'extérieur de l'entreprise. Chez HCL Technologies, nous avons toutes sortes d'initiatives. En interne, il existe une plate-forme sur laquelle un salarié peut déposer des idées innovantes (pour réduire les coûts, augmenter les revenus de l'entreprise...) assorties de plans de mise en oeuvre. Ses collègues les évaluent et les 20 meilleures sont récompensées. A l'extérieur de l'entreprise, nous avons, en collaboration avec le site Managementexchange.com de Gary Hamel, lancé un concours d'innovation en management qui a attiré des candidats issus des meilleures écoles : les étudiants devaient incarner un dirigeant d'entreprise et concevoir, sans aucune limite, des stratégies et des idées qu'ils jugeaient favorables à leur société.

 

http://www.lesechos.fr/journal20110607/lec1_competences/0201373202976-les-entreprises-doivent-passer-a-un-management-collaboratif-173025.php#

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22 mai 2011 7 22 /05 /mai /2011 10:55

 

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22 mai 2011 7 22 /05 /mai /2011 10:40
Jeudi 19 mai 2011

Il y a quelques semaines, j'ai reçu un mail de 750 grammes, me proposant (ainsi qu'à de nombreux autres bloggeurs) de participer à une campagne en collaboration avec Amora, dont on ne présente plus les produits.

Dix bloggeurs devaient être sélectionnés pour recevoir un échantillonnage de produits Amora afin de réaliser des recettes avec ces produits.

J'ai été intéressée par cette campagne puisque j'utilise très régulièrement la moutarde Amora douce, ainsi que le ketchup, la mayonnaise et les cornichons.

J'ai eu la chance de faire partie des 10 bloggeurs sélectionnés pour participer à cette campagne et j'ai donc reçu ce colis composé de 3 moutardes différentes, d'un ketchup épicé, d'un pot de cornichons très croquants, d'une mayonnaise à la moutarde de Dijon :

 

AAAAAAA-5127.JPG

 

Je vous propose donc, ici, une série de recettes réalisées avec les produits Amora :

 

 

- rôti de porc sauce moutarde et confiture de piments doux.

- rôti de boeuf à la moutarde.

- filet de saumon sauce moutarde, et petits légumes.

- jarret de boeuf au céleri, sauce moutarde.

- boulettes à la moutarde, sauce tomates.

- carbonnades de boeuf à la moutarde.

- pain de viande roulé surprise.

- poulet au vinaigre et au romarin.

- broufado.

- sauce tartare chaude.

- millefeuille au tartare de saumon.

- potée Delcour.

- terrine aux deux saumons.

- rillettes de thon à la marjolaine.

- salade de pommes de terre au saumon fumé et chou fleur.

- dip au thon et aux anchois.

 

Site : Tous en cuisine avec Nadine

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22 mai 2011 7 22 /05 /mai /2011 10:31

Depuis que j'ai goûté le sublime macaron à la moutarde de Jean Chauvel (voir mon dîner aux Magnolias), je suis convaincue d' l'utilisation de la moutarde version sucrée, en confiserie apéritive par exemple. Du coup, rine de plus évident pour moi que d'imaginer des guimauves à partir de la moutarde aromatisée Amora (pour changer du macaron, et parce que j'adore vraiment la texture de la guimauve, si vous fréquentez le blog, vous devez le savoir...) ; cette moutarde s'y prête bien, parfumée au vin rouge et aux épices mais on pourrait utiliser la Savora également...guimauvemoutarde1.jpg Cette gourmandise savoureuse et amusante a été préparée en partenariat avec le site 750 g pour la marque Amora, sur cette page dédiée.

Ingrédients

- 2 blanc d'oeufs (60 grammes)
- 220 + 30 grammes de sucre
- 3 cuillères à soupe de moutarde aromatisée Amora (ou autre)
- 5 feuilles de gélatine (10 grammes)
- 10 grammes de fécule maïs
- 10 grammes de sucre glace
- QS de pavot ou de graines de moutardeguimauvemoutarde2.jpgPréparation
Faire tremper la gélatine dans de l’eau froide.

Dans une casserole, mettre l’eau avec le sucre et le porter à ébullition jusqu'à la température de 121°C.  Hors du feu, ajouter 2 cuillères à soupe de moutarde et la gélatine, bien pressée, et bien mélanger.
Pendant que le sirop cuit, monter les blancs en neige ferme (ils doivent être déjà montés quand le sirop est cuit) et y rajouter 30 grammes de sucre en poudre quelques secondes avant qu’ils soient fermes. Tout en continuant de battre les blancs, verser dessus en petit filet, le sirop bouillant et continuer à battre entre 5 et 10 minutes pour que le mélange tièdisse bien, en incorporant la dernière cuillère de moutarde (environ 40°C).
Verser dans les moules demi-sphériques poudré du mélange fécule/sucre glace, selon la forme voulue, ou dans un moule rectangulaire, tapissé de papier sulfurisé et poudré du même mélange. Laisser sécher à l'air libre ; la masse doit être ferme. Démouler, former les sphères ou découper en carrés et rouler partiellement ou entièrement dans les graines de pavot.
Billet sponsorisé


guimauvemoutarde.jpg

Site : Saveur Passion.

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5 mai 2011 4 05 /05 /mai /2011 10:37

Depuis début 2009, toutes nos mayonnaises
Amora et Maille sont faites exclusivement à
base d‘oeufs de poules élevées en plein air.

Décodez les œufs

Opération nom de code "3" : un chiffre à bannir

En cas de doute :
LIRE LE CHIFFRE IMPRIMÉ SUR L’OEUF AVANT LES LETTRES FR (généralement le 1er chiffre  du code).

lire le code

Il vous dira tout sur les conditions de vie de la poule qui l'a pondu.

Caractère imprimé sur l'œuf avant les lettres FR
Traduction et mention obligatoire sur la boîte
0
œufs de poules élevées en plein air (agriculture biologique)
1
œufs de poules élevées en plein air
2
œufs de poules élevées au sol
3
œufs de poules élevées en cage

L'œuf de plein air « Agriculture biologique »

Apporte les garanties de l'œuf de plein air, avec en plus :

  • abris et végétation sur le parcours extérieur ;
  • à l'intérieur, nombre de poules limité et densités plus faibles ;
  • alimentation biologique à 90% minimum.
L'œuf de plein air
  • En journée, accès à un parcours extérieur en majeure partie recouvert de végétation (4 m2 de terrain par poule).

 

 

 

En 2011, Amora lance la première gamme de
condiments issus de l’agriculture biologique.

 

L’agriculture biologique est un système de production agricole basé sur le respect du vivant et des cycles naturels, qui gère de façon globale la production en favorisant l'agrosystème mais aussi la biodiversité, les activités biologiques des sols et les cycles biologiques.

Pour atteindre ces objectifs, les agriculteurs biologiques doivent respecter des cahiers des charges et des règlements qui excluent notamment l'usage d'engrais chimiques de synthèse et de pesticides de synthèse, ainsi que d'organismes génétiquement modifiés.

Les agriculteurs qui pratiquent ce type d'agriculture misent, par exemple, sur la rotation des cultures,l'engrais vert,le compostage, la lutte biologique,l'utilisation de produits naturels comme le purin d'ortie ou la bactérie Bacillus thuringiensis, et le sarclage mécanique pour maintenir la productivité des sols et le contrôle des maladies et des parasites.

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2 mai 2011 1 02 /05 /mai /2011 21:53

 

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2 mai 2011 1 02 /05 /mai /2011 21:46

 

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27 avril 2011 3 27 /04 /avril /2011 17:12
Copyright Reuters
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Meilleure autonomie des employés, esprit de cohésion, sentiment d'avoir une "mission"... Les recettes de ces entreprises "où il fait bon travailler" paraissent plutôt simples. Et elles paient puisque ces compagnies réalisent aussi des bénéfices plus élevés que la moyenne.

Plus les employés sont “heureux” au travail, plus l’entreprise est performante. A priori, ce lien semble évident. Sauf que le bien-être des salariés n’était, jusqu’à récemment, qu’une donnée parmi d’autres, rarement une priorité. Ce n’est plus le cas, à l’heure où les “risques psycho-sociaux” font l’objet de débats nationaux après une série de suicides d’employés de grandes entreprises comme France Télécom.

Une étude menée par le cabinet de conseil Bain & Company, sur les entreprises “où il fait bon travailler”, détaille le lien entre l’engagement des employés, leur enthousiasme et la performance des entreprises pour lesquelles ils travaillent.

Des bénéfices deux fois plus élevés

Premier constat : les entreprises du classement établi annuellement par l’institut Hay font des bénéfices jusqu’à deux fois et demi plus importants que les autres. D’autres classements de ce type paraissent régulièrement comme celui du “Great place do work institute” qui place PepsiCo, Microsoft et Leroy Merlin dans le Top 3 des entreprises où la satisfaction des employés est la plus élevée en France.

L’autre point commun de ces compagnies “admirées”, c’est qu’elles offrent à leurs clients un niveau de satisfaction tel qu’ils deviennent par la suite promoteurs de la marque. Elles ne feraient pas que répondre au minimum d’attentes exigé en offrant des produits et des services de qualité mais feraient “plus”. En clair, elles seraient des entreprises qui font rêver.

Trouver un sens à son travail

Quel est donc le secret de ces entreprises jouissant d’une si bonne image auprès de leurs clients pour que leurs employés aussi soient enthousiastes ? Là encore, les fondamentaux de base, comme le salaire et les conditions matérielles, sont à respecter. Mais, “ce qui fait passer à l’étape supérieure, celle où les employés sont vraiment très heureux, c’est lorsqu’il y existe dans l’entreprise une communication quasi obsessionnelle sur sa mission", explique Domenico Azzarello, associé chez Bain& Cie et responsable de cette étude sur les liens entre engagement professionnel et performances de l’entreprise.

Les messages sont simples : telle société de vente en ligne ne fait pas que livrer de vulgaires chaussures à domicile, non, elle “livre du bonheur”. Telle banque ne fait pas que gérer les comptes de ses clients, elle “facilite la vie des gens”. Tel gourou du "high tech", à ses débuts, ne fait pas qu’inciter ses salariés à bien vendre des ordinateurs, il leur propose de l’aider à “changer le monde”.

Pourtant, nul besoin d’être un dirigeant charismatique pour insuffler à ses troupes la motivation nécessaire pour “faire rêver”. “Les entreprises classées parmi celles où les employés sont les plus heureux ne sont pas forcément dirigées les PDG les plus extravertis”, note ainsi le consultant de Bain & Cie.

L’exemple d’Apple revient d’ailleurs fréquemment comme “modèle” de management efficace. “Après le recrutement, nous sommes réunis pour un stage où l’on nous apprend notamment qu’il vaut mieux perdre du temps avec un client, qu’il reparte content et informé sans rien avoir acheté plutôt que de vouloir à tout prix faire du chiffre“ raconte Frédéric, vendeur dans une enseigne de la marque. Toutefois, le tableau n’est pas idyllique. Ici, plutôt que d’offrir un niveau de salaires un peu plus élevé en adéquation avec les résultats de l’entreprise, c’est l’ambiance qui est privilégiée et trois jours de vacances en bonus offerts par le patron.

Autonomie et considération

Outre le sentiment de trouver un sens à ce qu’ils font, les employés de ces entreprises “où il fait bon vivre” mettent en avant leur niveau d’autonomie ainsi que la considération dont ils font l’objet pour expliquer leur opinion favorable. Là encore, cela semble évident, mais ils manquent à bien des salariés dans les autres entreprises. Le baromètre sur le bien-être au travail établi par lpsos pour La Tribune, le 4 avril,  fait état de ces lacunes. Si 64% des gens se déclarent satisfaits de leur niveau de bien-être au travail, ce dernier aurait tendance à se détériorer, surtout chez les cadres. Parmi les causes de cette dégradation : des niveaux de stress élevé et un manque de reconnaissance. Ainsi, 62% des sondés affirment être stressés.

Plus globalement, en France quelque 60% des salariés interrogés par le cabinet Forrester avouent déconseiller à leur entourage de travailler un jour dans leur compagnie, selon une étude internationale parue fin 2010. C’est bien pire qu’en Allemagne où 40% des employés ont une telle opinion négative.

Une meilleure reconnaissance du travail effectué, une formation adéquate des managers ou encore la “valorisation des performances collectives” figurent toutes dans la liste des mesures préconisées par le Rapport sur le bien-être et l’efficacité au travail remis en février au Premier ministre. Toutes ces solutions, logiques, font déjà partie des “secrets“ des entreprises où il fait bon travailler.

http://www.latribune.fr/carrieres/mieux-dans-mon-job/20110427trib000618081/les-secrets-de-ces-entreprises-qui-font-rever-leurs-employes.html

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23 avril 2011 6 23 /04 /avril /2011 06:52
0,30 € Amora

A valoir sur l'achat d'un produit Amora Mayonnaise

Disponible jusqu'au 11/05/11
A imprimer ici
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22 avril 2011 5 22 /04 /avril /2011 18:26
Dès aujourd'hui, retrouvez Amora sur la home page de www.750g.com:
- les recettes de la semaine
- les conseils des chefs
- le concours

Gigot de Pâques à la moutarde

Un classique pour Pâques à la moutarde forte d'Amora.

gigot_de_paques_a_la_moutarde.png

INGREDIENTS

Pour 4 personne(s)

1 gigot d'agneau (env 1.2 kg)
3 c. à soupe de moutarde forte Amora
2 c. à soupe de miel
1 yaourt bulgare
½ citron
Sel poivre
3 cl Huile d'olive

  

PREPARATION

1 - Inciser le gigot sur toute sa surface en croix, sur 3 mm de profondeur environ.
2 - Saler et poivrer en massant la viande
3 - Mélanger ensemble la moutarde Amora, le miel, le yaourt et le jus du demi-citron.
4 - Passer la marinade sur le gigot, et laisser mariner la viande 2 heures au frais

Préchauffer le four à 200°C (th 7).
Huiler le plat et déposer le gigot.
Enfourner.

5 - En cours de cuisson, arroser la viande avec son exsudat.

Au terme de la cuisson, réserver la viande 15 min minimum sous une feuille d'aluminium, pour la laisser reposer et augmenter sa tendreté.

 

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